Autodidacte, Christophe est passionné depuis l’adolescence par les couleurs et les mots et n’a jamais arrêté de peindre et écrire depuis cette époque. La particularité de son art est de mêler les deux. Chaque toile est inspirée par un de ses poèmes et ce dernier se retrouve tout ou en partie sur l’œuvre. Après des études d’histoire de l’art et mille et une vies professionnelles dont certaines compliquées, il se remet complètement en question en 2015 et décide d’être artiste à temps plein. Ses peintures sont désormais exposées un peu partout et il travaille déjà sur ses troisième et quatrième livres. Le premier « Dans les rêves de Carole Lewis », est un recueil de poésie paru aux Éditions du Cygne à Paris en 2022. Le second, « On est tous des artistes », présentant des peintures en regard de leurs poèmes, est paru aux Éditions Laconti à Bruxelles la même année. Il s’attaque aujourd’hui a des œuvres de plus en plus grandes, comme la décoration extérieure de la capitainerie du Port autonome de Namur ou encore «Où en est la bataille ?», sa gigantesque peinture (3m x 12m) se trouvant à la Ferme de Mont-Saint-Jean à Waterloo, son « Guernica abstrait », comme le dit Serge Goyens de Heusch, docteur en Histoire de l’Art, qui a rédigé la préface de son deuxième livre. Voilà comment ce dernier synthétise la peinture de Christophe : «Il réalise d’audacieuses abstractions gestuelles, qui évoquent les grands maîtres de l’expressionnisme abstrait… Toujours averti des mouvements novateurs, Christophe de Fierlant poursuit ce qui semble l’obséder : la combinaison de la forme et de la couleur, avec des inscriptions verbales venues de son inspiration poétique. Et il termine en disant : « Un tel peintre devrait être reconnu parmi nos meilleurs artistes belges contemporains !»