Publié le 20 octobre 2023

S’adapter à chaque famille

Par Shana Devleschoudere
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« Être proche de ses clients avec des solutions dans un monde qui évolue rapidement », tel pourrait être le slogan de la Banque Transatlantique Belgium. Cette vénérable institution fait l’objet de notre focus de cette semaine, à l’approche de la fin de notre série sur cette question fondamentale : où et comment investir aujourd’hui ?
Si vous êtes des fidèles du magazine LOBBY et de sa Newsletter du vendredi (merci !), le nom de la Banque Transatlantique ne vous est pas inconnu. Cette institution de plus de 140 (!) ans est active comme jamais ! Avant tout banque de gestion privée, elle articule aujourd’hui son activité autour de cinq métiers principaux : la gestion de portefeuille, les crédits, le Private Equity, la planification patrimoniale et, enfin, des solutions d’assurance-vie. Et pour rappel important, la banque fait partie du groupe Credit Mutuel Alliance Fédérale. L’un des groupes bancaires les plus solides en Europe. Et ça compte !
Valérie Lecacheux, administratrice déléguée de la BT (pour les intimes) en Belgique l’affirme : « Faire partie d’un grand groupe est un atout incontestable ». Pour Valérie, « Les différentes crises qui se sont succédées depuis 2005 incitent les familles fortunées à se tourner vers des institutions solides, dotées d’une bonne notation, d’une perspective à long terme et qui propose une large gamme de services. Les clients veulent travailler avec une maison qui répond à leurs besoins et qui les accompagne à long terme. Vous devez penser sur plusieurs générations ».
On l’a écrit plus haut, les investissements en Private Equity font partie des activités de la BT. Une catégorie particulière d’actifs, à laquelle l’institution s’intéresse depuis longtemps : « Cette classe d’actif offre l’avantage d’être à la fois une alternative et un complément aux stratégies cotées liquides. La BT dispose, en la matière, d’une expertise reconnue qui lui permet d’offrir à ses clients une offre adaptée » souligne Bertrand Marot, administrateur exécutif. « Il s’agit également de cartographier les différents types de fonds, notamment en fonction des géographies, des millésimes, des différents segments (taille, secteur, stratégie, etc.) ou types de structures ».
Cependant, si on en comprend bien les avantages, l’investissement en Private Equity présente aussi des inconvénients, comme l’illiquidité et la durée de l’investissement. Pour compenser ces désagréments, la BT a un atout : « Nous proposons, quand la situation s’y prête, des formules de crédit spécifiques. L’échéance moyenne des investissements en Private Equity est de sept ans. Nous pouvons faire en sorte de ne pas « perturber » la gestion d’un portefeuille sur la base d’une ligne de crédit et ainsi couvrir les intervalles entre les différents appels de fonds et remboursements. Le choix du mode de détention des investissements en Private Equity est également très important et dépend des objectifs recherchés par les clients. Est-ce exclusivement un investissement de recherche de valorisation du patrimoine financier ou faut-il aussi combiner cet objectif avec d’autres, tels que la transmission à la génération suivante, par exemple ? La réponse à cela impacte aussi le choix d’investir, soit en personne physique, soit par interposition d’une société patrimoniale », poursuit Bertrand Marot.
Pour en revenir à la raison d’être d’une banque de gestion privée, il faut insister ici sur l’aspect « conseil en gestion » qui prévaut sur tout le reste. Et quand on sait que la BT conseille aussi ses clients belges pour leurs achats immobiliers à l’étranger, on se rend compte du potentiel qu’il y a pour cette vénérable institution, chez nous en Belgique.
Pour en savoir plus sur cette grande dame de 140 ans qu’est la Banque Transatlantique, rendez-vous dans le magazine LOBBY ICI.
En attendant, saviez-vous que le fauteuil transat, dont la forme est inspirée de celle des chaises de pont, doit son nom, apocope de transatlantique, au type de navires qui faisait jadis la traversée entre l’Europe et les US ? Eh oui, c’est un autre des avantages de lire cette Newsletter : avec elle, vous apprenez en vous cultivant. ;o)